J'Accuse sur la visite de Mattarella en Algérie. Quand l'imagination reflète la triste réalité du Maghreb et de la Méditerranée


 J'Accuse sur la visite de Mattarella en Algérie. Quand l'imagination reflète la trsite realité du Maghreb et de la Méditeranée 

On raconte que le président italien Mattarella, pour faire une plaisanterie à son homologue Teboune, président algérien, a décidé d'effectuer sa visite avec un avion de  Royal Air Maroc prêté par le roi du Maroc sur lequel on a écrit : « le ciel appartient aux oiseaux qui le survolent !».  Arrivé, aux frontières aériennes algériennes, l'avion a trouvé un gendarme caché sur un nuage blanc. « Halte, halte, ordonne le soldat à l'avion ! ». En enttendant le cri du gardien, Mattarella  se pencha dehors et annonça qu'il était le président italien en visite d'affaires en Algérie. Le gendarme ne savait que faire. Il balbutia un "monsieur oui"..., et appella la Présidence de la République à Alger. Enragé, Teboune demanda tout de suite des explications à l'ambassadeur d'Italie. Celui-ci répondit carrément que Mattarella était allergique aux dictatures et que sa visite à Alger lui était imposée par des hommes d'affaires et par la dépendance de Rome du gaz algérien. Mais Teboune ne l'a pas cru et a appela le gendarme : "Avez-vous vu le président Mattarella, soldat?". " Oui oui!", Répondit le gendarme

« Fais le entrer à la maison, sans lui donner le "garde à vous" et surtout pas aux commandant marocains. Ce sont nos ennemis! Teboune le lui ordonna. Puis il retourna vers l'ambassadeur de Rome : « La prochaine fois, je donnerai l'ordre de faire abattre l'avion! ». Nous les Algériens nous avons le sang chaud et nous ne savons pas plaisanter comme vous les Italiens. Quant à l'avion marocain, qui vient d'atterrir à Alger, il sera expulsé avec un bon nombre de réfugiés africains qui errent dans nos rues depuis quelque temps. Puis, il le renvoya avec une phrase: à chaque temps sa guerre d’Algèrie. Celle-ci désormais est perdue ».. "Ah, ces pseudo- démocraties qui s'alimentent de notre grandeur révolutionnaire!" exclama le président des algériens, devant son ministre des affaires étrangères. La démocratie est une illusion! Lui répondit son ministre....

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