Les bourgeons aimés
Ce désespoir des esprits et de notre ãge
Cette indifférence qui circule désormais
Comme un train qui secoue les âmes abimées
Abandonné à la couleur grise d'un nuage
Peut-être est-ce le cri de mon âme solitaire
Avant qu'un autre jour ne se termine
De ce ciel qui ne calmera plus jamais
Mon coeur silenciuex et cette vie qui est la mienne
Tout disparaît lentement, tel un naufrage
De la pensée qui résiste aux mirages
De chaque instant vécu au rythme changeant
Du soleil, de la lune et des gens...
Ô vie ! Que tu es enchanteresse et drôle
Je me souviens de ton chemin lumineux et des mots de jeunesse
Des bourgeons tant aimés et parfois sacrifiés
Et chacun avait un regard amoureux comme un tournesol
De la vie et de la lumière comme l'été dernier
Du parfum de ma colline et des fleurs éparpillées
Et de la joie que chaque rayon de soleil procurait ...
a nos coeurs battant et entourés
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