O ailes recluses
Ma bienaimée recluse !
Juillet est là, cette muse
Elle chante comme un merle
L’amour à la vie et à l’été
A tout azur et à toute immensité
Comme les vagues déferlent
Comme les jours passent…
Et ce temps infame et rapace
A-t-il bâti des murs ?
Pour te garder en détention
O Muse me dones-tu une émotion !
De cet amour grand et pur
Ma bienaimée confuse !
Si tu avais un peu de ruse
Et un peu d’empathie
Tu écouterais davantage le chant
Du merle, le matin et au soleil couchant
De toute joie et chagrin investis
A toi mon cœur pleurnichant
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