Un embryon, sous mon ciel- poème

 

Un embryon, sous mon ciel

 







Tu es incessamment dans ma pensée

Comme une douceur jamais délaissée

Tu me couvres de neige…

Comme chaque mois de janvier

O larmoyant encrier !

Encres Sibyllins  dirais-je… ?

 

 

Que j'ai souhaité que chaque vers,

mette fin à ce ton délétère

Si seulement tout ce que j'entends

te ramène à moi comme le printemps

La vie, la vie ! le soir n’arrive pas tout de suite...

Quel rêve soulagerait mon âme qui s'éffrite ?

 

 

N’est-il pas comme une terre ocre ?

Cet amour qui chante comme les feuilles d’octobre

Il répète : infâme est ce monde indifférent et cruel

Je t'entends encore chuchoter entre les murs…

Les refrains les plus affectueux et purs

De la vie comme un embryon, sous mon ciel

 

 

 

 


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