En toute haleine- Poème

 En toute haleine

 


Soleil levant, 1862, oeuvre par exéllence de l'imprésionisme de Claude Monet
 



Du magnétisme avant toute chose

Et pour cela je préfère la légèreté

Plus nette et limpide que la clarté

Rien que pour sentir la métamorphose

 

Il faux que tu ne perds pas les repères

Pour choisir entre les pôles qui attirent

La magie des paroles qui délirent

Où l’imperceptible devient extraordinaire

 

Ce sont de simples vers qui hypnotisent…

Coulant comme les heures dans le fleuve

Du temps où l’azur ne cède pas aux épreuves

Ce sont des regards qui s’envolent dans des voutes grises

 

Car nous nous tentons de créer des grisailles

Comme des paroles qui ont perdu leur sens...

Où le temps où se reconquiert toute nuance

Et où tout gris devient couleur paille

 

A présent  mon pinceau romance

La lumière du soleil est l’or…

Chaque amant a son transport

 

Et le rêve qui s'achère et recommence

La dictature a sa cruauté qui déchaine

Les larmes e le charme en toute haleine

Commenti